Conséquences de la dissolution de l’Assemblée nationale

Publié le 13/06/2024 à 12:00, modifié le 21/06/2024 à 07:34 dans Contrat de travail.

Temps de lecture : 4 min

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Suite à la décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale, l’ensemble des travaux parlementaires sont suspendus. Il faudra donc attendre la fin des élections législatives pour connaître le sort des projets et propositions de loi qui étaient en cours d’examen avant cette annonce, notamment le projet de loi de simplification.

Dissolution de l’Assemblée nationale : organisation de nouvelles élections législatives

Le dimanche 9 juin, le Président de la République a prononcé la dissolution de l’Assemblée nationale. La première conséquence de cette dissolution est l’organisation de nouvelles élections législatives. En application de l’article 12 de la Constitution, elles doivent avoir lieu 20 jours au moins et 40 jours au plus tard après la dissolution.

Le premier tour est donc fixé le 30 juin et le second, le 7 juillet 2024 en métropole, à La Réunion, à Mayotte, en Nouvelle-Calédonie et à Wallis et Futuna. Pour la Guadeloupe, la Guyane, la Martinique, la Polynésie française, Saint-Barthélemy, Saint-Martin et Saint-Pierre-et-Miquelon, les élections sont prévues les 29 juin et 6 juillet.

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