Chômage-intempéries : l’ouverture du droit à indemnisation dans le Bâtiment
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L’indemnité perçue par le salarié est égale, pour chaque heure de travail perdue, à 75 % du salaire horaire pris en considération, multipliés par le nombre d’heures indemnisables. Il s’agit du nombre d’heures de travail perdues du fait des intempéries, sous déduction de l’heure de carence (voir ci-après). Ainsi, en cas de modulation de la durée du travail comportant une période haute et une période basse, le nombre d’heures indemnisables doit être calculé sur la base de l’horaire réellement pratiqué dans l’entreprise au cours de la période considérée et non pas en fonction d’un horaire théorique moyen.
L’indemnité perçue par le salarié est égale, pour chaque heure de travail perdue, à 75 % du salaire horaire pris en considération, multipliés par le nombre d’heures indemnisables. Il s’agit du nombre d’heures de travail perdues du fait des intempéries, sous déduction de l’heure de carence (voir ci-après). Ainsi, en cas de modulation de la durée du travail comportant une période haute et une période basse, le nombre d’heures indemnisables doit être calculé sur la base de l’horaire réellement pratiqué dans l’entreprise au cours de la période considérée et non pas en fonction d’un horaire théorique moyen.
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