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Actualités "licenciement pour motif personnel"

  • Si certaines cours d’appel continuent d’écarter l’application du barème Macron, la Cour de cassation vient de réaffirmer sa position très clairement : la situation concrète d’un salarié ne doit être appréciée que pour déterminer le montant de l'indemnité due entre les montants minimaux et maximaux, pas pour s’écarter du barème.

  • Licenciement : attention aux circonstances de la rupture

    Publié le 11/09/2023 à 17:30, modifié le 12/09/2023 à 15:20.

    Un licenciement, abstraction faite de son bien-fondé, ne peut être prononcé dans des circonstances vexatoires. A défaut, votre attitude fautive autorisera le salarié à solliciter l’indemnisation de son préjudice. Cette solution, établie de longue date, vient d’être rappelée par la Cour de cassation.

  • La surveillance et le contrôle de l’activité des salariés, au-delà d’être facultatives, sont avant tout soumises à plusieurs conditions de mise en œuvre. Les résultats recueillis pourront ainsi, le cas échéant, constituer des éléments de preuve exploitables pour justifier une mesure de licenciement. Et comme vient de le préciser la Cour de cassation, la technique dite du « client mystère » n’échappe pas à ces règles.

  • ARTICLE CONSEIL

    Gérer la procédure d’inaptitude

    Publié le 31/07/2023 à 07:39.

    L’avis du médecin du travail vient de vous parvenir et il indique que votre salarié est inapte à son poste. Quelle est la procédure à respecter lorsqu’à l’issue de la visite médicale de votre salarié, la médecine du travail vous adresse un avis d’inaptitude le concernant ?

  • Le salarié a droit au respect de sa vie privée. Un fait tiré de sa vie personnelle peut-il justifier la rupture du contrat de travail ? Oui, dans certains cas, le salarié peut être licencié.

  • Abandon de poste : qu’est-ce que vous pouvez vraiment faire aujourd’hui ?

    Abandon de poste : qu’est-ce que vous pouvez vraiment faire aujourd’hui ?

    Publié le 29/06/2023 à 09:38, modifié le 17/07/2023 à 09:54.

    Les pouvoirs publics ont créé une présomption de démission en cas d’abandon de poste de façon à ce que le salarié qui quitte son poste sans justification ne soit pas indemnisé. Seulement, en réalité, l’abandon de poste n’est pas toujours subi par l’employeur et se fait parfois d’un commun accord comme l’atteste une étude récente de l’UNEDIC. Concrètement aujourd’hui est-il encore possible d’envisager un abandon de poste suivi d’un licenciement pour absence injustifiée ou faut-il nécessairement passer par la présomption de démission ?

  • Bien que validé à plusieurs reprises par la Cour de cassation, le barème Macron continue de diviser. La cour d’appel de Grenoble, en mars dernier, avait refusé de l’appliquer en raison de l’inaction du Gouvernement à s’assurer qu’il offrait une réparation adéquate. Il y a quelques jours, cette même cour d’appel vient à nouveau d’écarter le barème en appliquant la charte sociale européenne dans une longue décision argumentée.

  • Liberté d’expression du salarié : seul l’abus de droit peut justifier un licenciement

    Publié le 22/06/2023 à 13:30, modifié le 18/07/2023 à 11:43.

    L'exercice de la liberté d'expression ne peut, sous peine de nullité, justifier le licenciement d’un salarié. Cette protection, certes fondamentale, n’est cependant pas absolue. Ainsi, comme vient de le rappeler la Cour de cassation, celle-ci doit céder lorsque le salarié en use abusivement.

  • L'incitation à la grève : de nature à justifier le licenciement d’un salarié ?

    Publié le 08/06/2023 à 10:30, modifié le 14/06/2023 à 15:11.

    Sauf à constituer une faute lourde, un salarié ne peut être licencié sur la base d'un fait survenu durant l'exercice de son droit de grève. Dès lors, comment l’employeur doit-il considérer l’action d’un salarié ayant incité ses collègues à rejoindre le mouvement social ? La solution, déjà posée par la Cour de cassation, vient d’être rappelée par cette dernière.

  • L’action en justice valablement intentée par un salarié ne saurait, sous peine de nullité, justifier son licenciement. Pour autant, l’employeur reste en capacité d’acter la rupture de son contrat de travail sur un motif étranger. Ainsi, il revient au salarié de démontrer que son licenciement constitue une mesure de rétorsion dès lors que celui-ci repose sur une cause réelle et sérieuse.

  • La salariée en état de grossesse bénéficie d’une protection contre le licenciement. Au vu de la dernière décision de la Cour de cassation, il est opportun de rappeler que cette protection ne s’applique pas seulement pendant le congé maternité et les congés payés pris immédiatement après celui-ci.

  • Le salarié dont le licenciement a été annulé peut solliciter sa réintégration dans l’entreprise. Seulement, la faisabilité de ce retour interroge lorsque ce dernier avait, au préalable, demandé la résiliation judiciaire de son contrat de travail. Nouvellement amenée à s’exprimer sur ce sujet complexe, la Cour de cassation vient de préciser sa position.

  • Au-delà de sa faible fréquence, l’incarcération d’un salarié impacte nécessairement la vie de l’entreprise. Les nombreuses interrogations qu’elle soulève prennent alors une couleur particulière lorsque les faits réprimés se sont déroulés en dehors des temps et lieu de travail. A travers une récente décision, la Cour de cassation s’est exprimée sur le licenciement d’un salarié dont le retour en entreprise avait dégénéré en raison des faits à l’origine de sa condamnation.

  • Source d’irrégularité du cumul d’emplois, le dépassement de la durée maximale du travail ne justifie pas à lui seul le licenciement du salarié. Par une récente décision, la Cour de cassation vient de rappeler les circonstances pouvant motiver une telle rupture du contrat de travail.

  • La demande d’autorisation de licenciement constitue une étape indispensable pour licencier un salarié protégé. Sa délivrance n’étant pas systématique, votre projet de rupture sera interrompu en cas de refus. Dès lors, êtes-vous en droit de le reporter à l’issue de la période de protection ? Focus sur une récente décision de la Cour de cassation.

  • Lorsqu’un salarié est déclaré inapte, vous devez tenter de le reclasser en suivant les indications du médecin du travail. Attention, si ce dernier juge qu’un salarié peut occuper un poste en télétravail à son domicile, et que l'essentiel des missions est réalisable en télétravail, l’aménagement du poste doit être réalisé.

  • Barème Macron : encore de la résistance ?

    Publié le 30/03/2023 à 14:42, modifié le 04/04/2023 à 10:10.

    En février dernier, la Cour de cassation a fait une nouvelle application du barème Macron. Depuis, les cours d’appel semblaient enfin se ranger à sa position. Mais le 16 mars dernier, la cour d’appel de Grenoble a de nouveau écarté l’application du barème Macron. Avec un motif tout nouveau qui repose sur l’inaction du Gouvernement. En parallèle une nouvelle décision de la Cour de cassation vient de tomber le 29 mars dernier où elle a encore appliqué le barème Macron dans un cas particulier.

  • La Cour de cassation a formulé des précisions importantes sur la protection dont bénéficient les salariés lanceurs d’alerte, notamment à l'égard des licenciements prononcés à la suite de leur signalement. Rendues conformément au droit applicable avant la loi Waserman, elles semblent transposables au droit en vigueur.

  • Lorsque ses pratiques managériales nuisent gravement à la santé de ses subordonnés, le manager peut être licencié pour faute grave. Et son ancienneté n’est pas un argument suffisant pour écarter la gravité de sa faute.

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