M. X a saisi le conseil de prud’hommes pour demander le paiement d’heures supplémentaires accomplies pour son employeur, la société CGEA Onyx.
Cette dernière fait observer que ces heures n’ont effectivement pas donné lieu à paiement mais qu’il a été octroyé un repos supplémentaire au salarié. Ce dernier en a d’ailleurs été informé par l’intermédiaire de ces bulletins de paie. Selon la société CGEA Onyx, il n’appartient pas à l’employeur de l’obliger à prendre ce repos et elle ne s’est jamais opposée à une demande de repos émanant d’un salarié.